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Il Campo del Sole   (3)

Dopo la stranezza dalla nebbia,

posto a quella dell’infrarosso!

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Le Campo del Sole vu depuis notre “pilotina”, placée derrière les joncs qui bordent l’entrée du Porto del Sole.

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Per i nostri amici italiani

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Ieri, ho presentato l’alone di mistero che la nebbia a volte diffonde sul Campo del Sole.

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Oggi, ne propongo una vista onirica ottenuta attraverso la magia della fotografia  infrarossa.

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Decisamente, la fotografia a infrarossi consente di esplorare altre sfaccettature di una realtà.

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Nel caso di specie, mi ha aiutato a percepire meglio il vero matrimonio, l’armonia tra le colonne/sculture e il loro scrigno vegetale.

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Introduction

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Hier, j’ai présenté l’aura de mystère dont le brouillard nimbe parfois le Campo del Sole.

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Aujourd’hui, je vous en propose une vue onirique obtenue grâce à la magie de la photographie infrarouge.

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Petit rappel

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Si vous souhaitez plus d’informations sur l’importance du brouillard au lac Trasimène et son impact sur la navigation, consultez la série d’articles ci-dessous :

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• FR – BROUILLARD ET TRASIMENE :  11 articles.

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Si vous souhaitez plus d’informations sur la technique de la photographie infrarouge, consultez les articles ci-dessous :

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• Bases de la photographie infrarouge :  Vision fantasque de l’Isola Maggiore et du Trasimène I   :  14/07/2014
• La magie de l’infrarouge :  Vision onirique de la rive boisée à Tuoro…  (1)   :  17/02/2015
• Essai de variation dans la post-production :  Un autre essai de « fausses couleurs » pour photos infrarouge  :  22/02/2015
• Nouvel essai de post-production de photos IR : château Guglielmi et Isola Minore  :  25/03/2015

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Les photos

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Le Campo del Sole enchâssé dans son écrin naturel.
Il est vu depuis notre “pilotina”, placée derrière les joncs qui délimitent l’entrée du Porto del Sole.

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Barrière de la rive du Campo del Sole.
En arrière-plan, les mâts de quelques bateaux amarrés au Porto del Sole.

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La première statue du groupe est l’oeuvre de Giò Pomodoro (1989).
N° 14 s ur le plan.

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Idem.
À l’avant-plan, œuvre de Giò Pomodoro (1989)

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à gauche, œuvre de Aurelio De Felice (1988-1989)
à droite, œuvre de Iginio Balderi (1985).
Respectivement les N° 12 et 13 sur le plan.

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Oeuvre de Joaquin Roca-Rey (1986).
N° 11 sur le plan.

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Table de banquet, sièges cubiques et un symbole solaire.
Oeuvre de Piero Cascella (1985).
Oeuvre N° 02 sur le plan.

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Bref regard en arrière en quittant le Campo del Sole en direction du parking près du Porto del Sole.

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Conclusion

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Décidément, la photographie infrarouge permet d’explorer d’autres facettes d’une réalité.

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Dans le cas présent, cela m’a aidé à mieux percevoir le véritable mariage, l’harmonie entre les colonnes/sculptures et leur écrin végétal.

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