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Il ciclone « Venere »  all’Isola Maggiore   (3)

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Il nostro giardino buttato all’aria

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Dans notre jardin à l’Isola Maggiore, branches arrachées et tapis d’aiguilles de pin après le passage du cyclone méditerranéen “Vénus”.

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Ne pas oublier de cliquer sur les prochaines photos pour les agrandir !

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Per i nostri amici italiani

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Per una buona comprensione di questo articolo, è necessario aver guardato i primi articoli pubblicati su questo blog e parlando di questo ciclone:

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• Le cyclone « Vénus » à l’Isola Maggiore  (1)  : 11 et 12 novembre 2013
• Le cyclone « Vénus » à l’Isola Maggiore (2) – 1° partie :  une île blessée…
• Le cyclone « Vénus » à l’Isola Maggiore (2) – 2° partie :  une île blessée…

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Introduction

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Pour bien entrer dans le vif du sujet de cet article, il est hautement préférable d’avoir lu les précédents :

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• Le cyclone « Vénus » à l’Isola Maggiore  (1)  :  11 et 12 novembre 2013
• Le cyclone « Vénus » à l’Isola Maggiore  (2) – 1° partie :  une île blessée…
• Le cyclone « Vénus » à l’Isola Maggiore  (2) – 2° partie :  une île blessée…

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Au jourd’hui, nous allons nous intéresser à l’impact du cyclone « Vénus » dans notre jardin à l’ Isola Maggiore.

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A l’avant-plan, nos hauts pins parasols, en arrière-plan deus de nos pins du Mississipi, encore dépouillés de leurs aiguilles car nous sommes ici en mars 2012.

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Bien que nous ayons longtemps tremblé pour nos grands arbres (pins parasols et pins du Mississipi) qui ployaient fortement sous la violence du vent, nous n’eûmes pas à subir de vraies destructions ( à l’inverse de ce qui fut observé un peu partout sur l’île).

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Mais l’ordonnance du jardin, si chère à Fabienne, fut complètement chamboulé.

Un vrai chantier !

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Le grand chambardement

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En fait, notre jardin a été principalement chamboulé et « recolorié » par une avalanche de débris végétaux épars.

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Pommes de pin

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Les pommes de pin parsèment la belle allée du jardin menant au bord du Trasimène…

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Elle ont constitué le seul réel danger pour notre intégrité physique !

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… elles jonchent également nos pelouses…

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… sans épargner la terrasse…

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Ces pommes de pin de diverses couleurs, arrivées à divers degrés de maturation, ne sont pas sans charme, mais…

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Malgré la beauté des pommes de pin, le port du casque de chantier aurait été prudent dans le jardin…

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… idéalement, nous aurions dû nous promener avec un casque de chantier sur la tête car, projetées par grand vent, les pommes de pin constituent en fait de dangereux projectiles.

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Chute de branches

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Seulement la chute de quelques petites branches.

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Rien de comparable avec ce que nous avons pu observer lors de notre promenade le long des chemins de l’ Isola Maggiore.

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Voire de simples petits rameaux.

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La chute de branches s’est limitée à quelques petites branches, voire de minuscules rameaux.

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Chute des aiguilles des pins du Mississipi

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Un de nos pins du Mississipi à l’automne, revêtu de sa cape automnale couleur rouille.

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Il faut dire qu’en plein automne, les trois pins du Mississipi sont les arbres qui s’imposent au regard par leur métamorphose ardente.

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Les aiguilles des pins du Mississipi envahissent le jardin et lui donne des éclats de feu.

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En deux jours, le vent dégarnit sans pitié ces beaux arbres majestueux et vint raviver le jardin d’une teinte flamboyante.

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Idem.

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Ce fut en fait l’élément le plus frappant.

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Idem.

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Même la belle couleur des dernières roses du jardin devait céder la préséance à ces lourdes couches de peinture rouille.

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Quelques malheureuses roses noyées dans le feu des aiguilles de pin omniprésentes.

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Vigoureuse remise en état

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Nous ne parlerons pas de tous les pots, brouettes et sièges renversés.

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Les pommes de pin furent sèchement ramener à la raison et… encagées !

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Tout ce qui vient d’être décrit éveilla immédiatement une furia de nettoyage et de remise en ordre chez ma très chère Fabienne, maîtresse incontestable, et d’ailleurs incontestée, des lieux.

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Les aiguilles de pin furent impitoyabelement regroupées en de funestes tas condamnés au bûcher…

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Conclusion

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Notre jardin n’a pas vraiment souffert des assauts du cyclone « Vénus ».

Et je dirais même que le chaos engendré dans notre jardin par le vent belliqueux qui l’accompagna, n’était pas sans une certaine beauté sauvage.

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